Stress oxydatif : quand nos cellules s’oxydent en silence… mais qu’on peut agir

Vous avez sûrement déjà entendu cette expression : “ça me fait vieillir plus vite”.
Mais savez-vous qu’au cœur de cette idée, se cache un phénomène biologique bien réel, qui touche tout le monde, à tout âge et qui s’intensifie dès 40 ans ?
Ce phénomène, c’est le stress oxydatif.

Un mot un peu technique, mais des effets très concrets ; peau qui perd son éclat, fatigue chronique, douleurs articulaires, baisse d’immunité, vieillissement prématuré et surtout une perte progressive de vitalité.

La bonne nouvelle…on peut le limiter, le neutraliser et même l’inverser. Avec des gestes simples, naturels et cohérents.

C’est quoi, le stress oxydatif ?

Pour faire simple : c’est un déséquilibre entre les radicaux libres (des molécules instables produites par le corps) et nos défenses antioxydantes naturelles.

Les radicaux libres sont des molécules très réactives. On en produit naturellement quand on respire, digère, bouge… mais aussi sous l’effet de la pollution, le tabac, le stress émotionnel, les UV, une alimentation industrielle ou trop sucrée, un manque de sommeil ou certains médicaments.

S’ils deviennent trop nombreux, ils attaquent nos cellules comme de petites flammes internes. C’est ça, le stress oxydatif.

Et pourquoi c’est un problème ?

Ce stress permanent use nos cellules de l’intérieur. Il est impliqué dans le vieillissement cutané (rides, relâchement, teint terne), la fatigue chronique, les troubles hormonaux, les inflammations articulaires, la perte de tonicité musculaire, les maladies chroniques (diabète, maladies cardiovasculaires, déclin cognitif…).

Le stress oxydatif, c’est comme une rouille invisible qui s’installe doucement dans nos tissus si on ne fait rien pour l’arrêter.

Pourquoi c’est encore plus important après 40 ans ?

Passé 40 ans, notre capacité naturelle à neutraliser les radicaux libres diminue.
Le corps produit moins d’antioxydants endogènes (comme la glutathion, la coenzyme Q10, etc.) et notre peau, nos yeux, nos cellules musculaires et nerveuses deviennent plus vulnérables.

C’est aussi une période où beaucoup de femmes vivent des changements hormonaux (pré-ménopause, ménopause), des pics de stress (travail, charge mentale, famille), une baisse d’énergie qu’on associe souvent… à tort… à l’âge.

En réalité, c’est souvent un excès de stress oxydatif qui est derrière cette perte de tonus et de clarté.

La bonne nouvelle : on peut réduire le stress oxydatif, naturellement

Manger des antioxydants à chaque repas 

Les antioxydants sont les “pompiers” de votre corps. On les trouve dans les fruits rouges, les légumes colorés (épinards, brocolis, carottes), les épices (curcuma, gingembre), les oléagineux (noix, amandes), les infusions, le cacao cru et les  huiles végétales vierges.

Manger “coloré et vivant” = bouclier antioxydant naturel. 

Bouger, mais sans s’épuiser

Une activité physique régulière stimule la production d’antioxydants internes. Marche rapide, Pilates, renforcement doux ou dynamique, vélo...

Attention : trop de sport intense mal récupéré peut augmenter le stress oxydatif, d’où l’importance de l’équilibre.

Dormir et respirer

Le corps régénère ses cellules pendant le sommeil profond. Le stress chronique, lui, épuise le système immunitaire et favorise la production de radicaux libres.

Un bon sommeil + 10 minutes de respiration consciente par jour = une vraie détox cellulaire.

Réduire l’exposition aux “toxiques invisibles”

En évitant la surconsommation d’alcool, tabac, sucres cachés. En privilégiant les produits frais, les soins cosmétiques clean, les matériaux sains à la maison et en aérant tous les jours (filtrer l’air si besoin), sans oublier de boire une eau de qualité!

Chez Onooa, nous en faisons une priorité

Notre approche globale combine  une nutrition riche en antioxydants naturels,  une activité physique sur mesure, une hygiène de vie durable et respectueuse. Parce que ralentir le stress oxydatif, c’est allumer la lumière de l’intérieur et cela, à tout âge!